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Ajaccio – PSG 1-1, 17/12/05, Ligue 1 05-06

Photo Ch. Gavelle, psg.fr

Samedi 17.12.2005, Championnat de France, Ligue 1, 19e journée (6e place) à Ajaccio, au Stade François-Coty (Timizzolo) :
A.C. AJACCIO – PARIS ST-GERMAIN F.C.  1:1 (1:1)
– 3 672 spectateurs. Buts : Bonaventure Kalou, 41′, Rocchi, 44′.
L’Équipe du PSG : Lionel Letizi – Stéphane Pichot, David Rozehnal, Mario Yepes, Sylvain Armand – Bernard Mendy, Christophe Landrin, Vikash Dhorasoo (Modeste M’Bami, 54′), Jérôme Rothen (Cristian Rodriguez, 69′) – Bonaventure Kalou, Pedro Pauleta (Carlos Bueno, 85′). Entraîneur : Laurent Fournier.
Avertissement à Bonaventure Kalou.


Maillot utilisé :

dom0506

Maillot domicile 2005-06 (collection MaillotsPSG)


Billet :


Photos du match :

Photo Ch. Gavelle, psg.fr

Mario Yepes (Ch. Gavelle)

Photo Ch. Gavelle, psg.fr

Cristian Rodriguez (Ch. Gavelle)

Photo Ch. Gavelle, psg.fr

Pedro Pauleta (Ch. Gavelle)

Photo Ch. Gavelle, psg.fr

Christophe Landrin (Ch. Gavelle)


Vidéo (le but parisien) :


Compte-rendu (psg.fr) :

Un voyage fructueux

Venus dans l’Île de Beauté obtenir un résultat et boucler les matchs aller sur une note positive, les Parisiens ont obtenu un bon partage des points. Place, pour finir 2005, à une rencontre de Coupe de la Ligue face à Toulouse, mercredi !

C’est un Paris Saint-Germain quasiment inchangé par rapport à sa dernière sortie rennaise qui débutait la rencontre. Désormais traditionnelle, la paire de récupérateurs Sylvain Armand-Vikash Dhorasoo était épaulée, à droite, par Christophe Landrin. De retour de blessure, l’ancien Lillois remplaçait Sergeï Semak poste pour le poste. Jérôme Rothen, en net regain de forme la semaine passée, prenait comme de coutume place sur le flanc gauche, où il était chargé de combiner avec Bonaventure Kalou ou Pedro Pauleta.

Calme au niveau des situations dangereuses, l’entame de rencontre était marquée par un combat de tous les instants. Celui de l’entrejeu, sur une pelouse toujours aussi rêche. Chaque formation cherchait logiquement à prendre position dans le camp adverse, à s’imposer dans la maîtrise d’un ballon bien difficile à apprivoiser. Quoi de plus normal, finalement, au regard de l’engagement réciproque dont Corses et Parisiens faisaient preuve en ce début de première période ? D’ailleurs, le pourcentage de possession de balle s’établissait, au bout de vingt minutes de jeu, à 50 % pour chacune des deux équipes.

L’approche des buts de Trévisan (et de Lionel Letizi) allait longtemps se révéler délicate. Une frappe lointaine de Sylvain Armand était néanmoins à mettre au crédit d’un PSG solide (13e). Côté acéiste, c’est Diawara qui semait le trouble dans la surface rouge et bleu (17e). Il fallait ensuite une superbe parade de Lionel Letizi sur une tête à bout portant de Dzodic sur un corner d’André Luiz pour empêcher les Parisiens d’être pris en contre au moment où ils commençaient à prendre l’ascendant (31e).

Une fin de première période animée

Les débats s’animaient sérieusement. Mieux, ils aboutissaient, juste avant la pause, à la magnifique ouverture du score francilienne. A la réception, côté droit, d’une ouverture de Pedro Pauleta, Christophe Landrin remettait de demi-volée à destination de Bonaventure Kalou. L’Ivoirien trompait de la tête Trévisan (0-1, 42e). Hélas, trois fois hélas, Rocchi annihilait cet avantage deux minutes plus tard, d’un but de renard des surfaces (1-1, 44e). Tout était à refaire et le retour des vestiaires allait s’inscrire dans la continuité d’une fin de première période disputée sur un rythme enjoué.

Entre accélérations insulaires et contres parisiens, on sentait le KO proche. Restait à savoir qui, des Ours ou des Rouge et Bleu, allait parvenir à s’imposer, si toutefois quelqu’un y parviendrai. Si l’on guettait toujours des actions de jeu, des tentatives significatives, on ne s’ennuyait pas. Bonaventure Kalou était à deux doigts de ravir les supporters parisiens venus soutenir les leurs au Stade François Coty. Hélas, l’ancien Auxerrois poussait trop son ballon (63e). Derrière, Lionel Letizi «assurait» sur un coup-franc de Robin (76e).

La fin de match était marquée par une belle résistance rouge et bleue. En manque de points, les protégés de Rolland Courbis jouaient leur va-tout. Ceux de Laurent Fournier défendaient un point acquis de haute lutte. Un point synonyme de bon résultat, et ce en dépit du classement de l’AC Ajaccio. Un point logique – finalement- et qui permet au PSG, avec 31 points, d’aborder les fêtes plus que jamais en embuscade au classement de Ligue 1.


Le stade :

Le stade François-Coty


 

Loic
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