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Anderlecht – PSG 1-1, 08/12/92, Coupe de l’UEFA 92-93

Mardi 08.12.1992, Coupe de l’UEFA, 1/8 de finale, match retour à Bruxelles, au Stade Constant Vanden Stock :
R.S.C. ANDERLECHT (Bel.) – PARIS ST-GERMAIN F.C.  1:1 (0:0)
– 20 000 spectateurs environ. Buts : J.Bosman, 53′, Antoine Kombouaré, 75′.
L’Équipe du PSG : Bernard Lama – Jean-Luc Sassus (Antoine Kombouaré, 66′), Ricardo Gomes, Alain Roche, Patrick Colleter – Laurent Fournier, Paul Le Guen, Vincent Guérin, Valdo Filho – François Caldéraro, Daniel Bravo (Francis Llacer, 89′). Entraîneur : Artur Jorge.
Avertissements à Laurent Fournier et Antoine Kombouaré.


Maillot utilisé  :

Second maillot 1992-93, version Coupe d’Europe


Billet :


Programme :


Le fanion :


Photos du match :

Valdo balle au pied

Valdo balle au pied

Antoine Kombouaré au milieu de la défense belge

Antoine Kombouaré au milieu de la défense belge

Vincent Guérin

Vincent Guérin

Jean-Lus Sassus et Ricardo dans la mêlée

Jean-Lus Sassus et Ricardo dans la mêlée

Paul Le Guen

La joie dans les vestiaires visiteurs à la fin du match

La joie dans les vestiaires visiteurs à la fin du match

Le parcage parisien (Mouvement Ultra)

Le parcage parisien (Mouvement Ultra)


Vidéo :


Compte-rendu (Patrick Glanz in 3.2.1 Champions) :

A Bruxelles, Paris, déjà privé de Ginola suspendu, joue sans Weah blessé. Son attaque formée de Calderaro et Bravo est inédite. Anderlecht doit également se passer de deux pièces maîtresses avec Alibert et Degryse, tous deux suspendus. Le match est équilibré et c’est Paris par Calderaro qui va avoir la première balle de match, mais Boffin détourne sur sa ligne. Et puis en début de seconde période, Bosman reprend de la tête un bon centre de Van Vossen. Le PSG est alors éliminé. Rien n’est fini tout de même. Artur Jorge décide alors de remplacer Sassus par Kombouaré. Avant le match, Tonio avait déclaré à Michel Denisot « Je veux partir, je n’en peux plus. C’est trop dur d’être remplaçant ». On est alors à dix minutes du coup de sifflet. « On verra plus tard », répond Denisot. « Joue et tu me cracheras tout demain… » C’est lui, pourtant, qui sera, au premier poteau à la réception d’un corner de Valdo. Lui qui qualifiera son équipe. A la fin du match, il est en larmes. A Denisot qui l’enlace, il dit « Ce n’est pas normal que je sois encore remplaçant. » Aveu aujourd’hui de Kombouaré « J’étais trop mal et j’ai déliré. Mais finalement, ça m’a fait du bien. » On connaît la suite, Paris est en danger et soudain : Zorro est arrivé… « C’était du Grand Paris » lance Artur Jorge. L’aventure continue. A qui le tour ?


Le stade :

Le stade Constant Vanden Stock

Le stade Constant Vanden Stock


 

Loic
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