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Olympiakos – PSG 1-4, 17/09/13, Ligue des Champions 13-14

Photo Ch. Gavelle, psg.fr (image en taille et qualité d'origine: http://www.psg.fr/fr/Actus/105003/Galeries-Photos#!/fr/2013/2727/36354/match/Olympiacos-Paris-1-4/Olympiacos-Paris-1-4)

Mardi 17.09.2013, Ligue des Champions, Groupe C, 1re journée (1re place) au Pirée, au Stade Georgios-Karaïskákis :
OLYMPIAKOS S.F. LE PIRÉE (Grè.) – PARIS ST-GERMAIN F.C.  1:4 (1:1)
– 29 000 spectateurs environ. Buts : Edinson Cavani, 19′, V.Weiss, 25′ ; Thiago Motta, 68′, Thiago Motta, 73′, Marcos Marquinhos, 86′.
L’Équipe du PSG : Salvatore Sirigu – Grégory Van der Wiel, Thiago Silva, Marcos Marquinhos, Maxwell Scherrer – Marco Verratti (Adrien Rabiot, 79′), Thiago Motta, Blaise Matuidi – Lucas Moura (Ezequiel Lavezzi, 46′), Zlatan Ibrahimović, Edinson Cavani (Jérémy Ménez, 89′). Entraîneur : Laurent Blanc.
Avertissement à Grégory Van der Wiel.


Maillot utilisé (en version Coupe d’Europe) :

Maillot domicile 2013-14 (collection MaillotsPSG)


Photos du match :

Photo Ch. Gavelle, psg.fr (image en taille et qualité d'origine: http://www.psg.fr/fr/Actus/105003/Galeries-Photos#!/fr/2013/2727/36354/match/Olympiacos-Paris-1-4/Olympiacos-Paris-1-4)

Les parisiens avant le coup d’envoi (Ch. Gavelle)

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Ezequiel Lavezzi tente d’échapper à Samaris (Ch. Gavelle)

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La joie des parisines après le 1er but de Thiago Motta (Ch. Gavelle)

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Thiago Motta réalisera un doublé (Ch. Gavelle)

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Marquinhos, de la tête, inscrit le 4ème but parisien (Ch. Gavelle)

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Un match dominé par le Paris-SG (Ch. Gavelle)


Vidéos (source: PSGZine, les buts et le résumé ) :


Compte-rendu (lequipe.fr) :

Paris s’est remis à l’endroit

Bousculé pendant 45 minutes (1-1 à la pause), le PSG a finalement décroché une large victoire chez l’Olympiakos (4-1), avec trois buts de la tête sur corner. Dans l’autre match du groupe, le Benfica a battu Anderlecht (2-0).

Une période à l’envers, une autre à l’endroit. Les retrouvailles avec la Ligue des champions ont été plus laborieuses que prévu. Quart de finaliste la saison passée, le Paris-SG a attendu les vingt-cinq dernières minutes et deux buts coup sur coup – et quasi identiques – de Thiago Motta (68e, 73e) pour prendre enfin l’ascendant sur l’Olympiakos (4-1), mardi soir. Après une seule journée, le club de la capitale occupe déjà la tête de sa poule dont il est le favori désigné. Mais le bilan comptable ne devra pas occulter les difficultés éprouvées par les joueurs de Laurent Blanc en première période. Inexistant offensivement – un seul tir… gagnant de Cavani (19e) -, Thiago Silva et ses équipiers ont surtout souffert derrière, notamment devant l’intenable Vladimir Weiss.
Le PSG a marqué 3 buts de la tête, du jamais-vu lors d’un match de Ligue des Champions depuis l’OM contre MSK Zilina le 3 novembre 2010. Suite à une perte de balle de Verratti, l’international slovaque a touché la barre de Sirigu dès la deuxième minute, comme Foster un quart d’heure plus tard (15e). Mais l’ancien joueur de Manchester City a surtout enrhumé Maxwell, Marquinhos et Thiago Silva pour permettre à l’Olympiakos de refaire son retard (25e). Petit pont sur l’ancien joueur de l’AS Roma, double contact devant le capitaine de la Seleçao : en une action, Weiss a mis en exergue la fébrilité du PSG et de sa charnière centrale. Pour sa première sous le maillot du PSG, Marquinhos a tardé à répondre aux attentes. A l’instar de son équipe, la conclusion de sa soirée a toutefois été heureuse : il a profité d’un corner de Motta pour inscrire de la tête son premier but sous ses nouvelles couleurs (86e).

Auteur d’un doublé et passeur décisif donc, Motta aura été le grand artisan du réveil parisien. Au moment de dresser le bilan de la soirée, il ne faudra toutefois pas oublier que les trois buts inscrits par le PSG en deuxième période l’ont été sur coups de pied arrêtés. Comme un symbole de ses difficultés pour faire peser une véritable menace sur la cage de Gago dans le jeu. Si Cavani est parvenu à inquiéter le gardien espagnol à deux reprises (59e, 76e), c’est encore sur une phase arrêtée que le club de la capitale aurait pu maquiller davantage le score : un penalty obtenu, mais manqué par Zlatan Ibrahimovic (82e). Loin de la sérénité affichée quatre jours plus tôt à Bordeaux (2-0), le PSG a au moins assuré l’essentiel : il n’a pas manqué ses débuts dans la compétition.

Réactions :

«Laurent Blanc, avez-vous eu peur en première période, et pourquoi a-t-elle été si difficile ?

Non, je n’ai pas réellement eu peur dans ce match. Effectivement, l’Olympiakos nous a posé beaucoup de problèmes en première période. Mais ce sera le cas pour d’autres équipes s’ils (les Grecs) continuent à jouer comme ça. Ils sont revenus très logiquement au score mais il n’y avait pas à avoir peur de quoi que ce soit. On sait qu’avec notre jeu, c’est plus facile de faire la différence en deuxième période parce que l’adversaire se fatigue. Ils ont manqué un peu d’énergie parce qu’ils en ont brûlé beaucoup en première période. Non, il n’y a pas eu de peur. En première période, je pense qu’on a joué beaucoup trop bas. On a insisté pour partir de derrière parce que c’est notre philosophie mais je pense que ça a favorisé le pressing de l’Olympiakos. Nos attaquants étaient trop isolés. Je crois qu’il y a eu un partage des zones beaucoup mieux équilibré en deuxième période.

Marquinhos a semblé fébrile et a parfois joué très bas en première période…

Non, ce n’est pas un problème de joueur, c’est un problème d’équipe. Ce n’est pas lui qui fait redescendre le bloc, c’est le bloc qui était très bas. On aurait pu dégager loin devant sur les deux attaquants pour faire remonter le bloc, mais notre philosophie, c’est de partir de derrière. C’est la ligne défensive qui était trop bas et qui a fait qu’on a manqué de liant avec les attaquants. Ce n’est pas un joueur qui est responsable de ça. N’oublions pas aussi que c’est son premier match de compétition depuis quatre mois. Je ne l’ai pas trouvé fébrile. Certes sa responsabilité est engagée sur le but, mais il n’y a pas que lui. Il n’était peut-être aussi pas fin prêt pour jouer. On a peut-être pris un risque. Il a marqué un but, il a fait une bonne deuxième période. Il a eu des difficultés en première, mais comme les autres. Et lui a une circonstance atténuante, physiquement, il n’est pas prêt.

Vous enchaînez après le succès à Bordeaux. Est-ce le bon moment pour affronter Monaco (dimanche) ?

Oui, il vaut mieux les rencontrer après trois victoires que l’inverse. Mais j’aurais aimé les rencontrer après une semaine de préparation. Mais effectivement on monte en puissance. Physiquement on est en train de franchir un palier. On va se préparer minutieusement pour ce match face à une très bonne équipe qui est en très grande forme.»


Le stade :

Le stade Georgios-Karaiskakis

Le stade Georgios-Karaiskakis


 

Loic
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