PSG – Toulouse 3-1, 23/01/13, Coupe de France 12-13

Mercredi 23.01.2013, Coupe de France, 16e de finale à Paris, au Parc des Princes :
PARIS ST-GERMAIN F.C. – TOULOUSE F.C.  3:1 (1:1)
– 32 867 spectateurs. Buts : Kévin Gameiro, 8′, Tabanou, 18′ ; Javier Pastore, 48′, Ezequiel Lavezzi, 66′.
L’Équipe du PSG : Nicolas Douchez – Gregory Van der Wiel, Sylvain Armand, Mamadou Sakho, Maxwell Scherrer – Clément Chantôme, Marco Verratti, Blaise Matuidi, Javier Pastore – Ezequiel Lavezzi (Lucas Moura, 76′), Kévin Gameiro (Jérémy Ménez, 46′). Entraîneur : Carlo Ancelotti.

Maillot utilisé (avec les sponsors spécifiques de la Coupe de France, à manches courtes):

Maillot domicile 2012-13 (collection  MaillotsPSG)

Billet :

(collection La Mémoire du PSG)

Photos :

Ouverture du score de Kevin Gameiro

But de Javier Pastore: Paris repasse devant! (Ch. Gavelle)

Ezquiel Lavezzi (Ch. Gavelle)

Jérémy Ménez (Ch. Gavelle)

La joie des parisiens après le troisième but (Ch. Gavelle)

Vidéos (psgzine, les buts et le résumé) :

Compte-rendu (lequipe.fr) :

Tranquille comme ParisTrois jours après sa victoire à Bordeaux (1-0) en Championnat, le Paris-SG a facilement battu Toulouse mercredi soir (3-1) et se qualifie pour les huitièmes de finale de la Coupe de France.

Paris peut encore rêver d’un hypothétique doublé Championnat-Coupe de France. Mais plus que cette qualification pour les 8es de finale aux dépens de Toulouse (3-1), c’est la manière avec laquelle le club de la capitale l’a obtenue qui satisfera probablement Carlo Ancelotti. Alors qu’il était permis de s’interroger sur sa capacité à surmonter les absences conjuguées de Thiago Silva, Alex, Thiago Motta et Ibrahimovic, le PSG a maîtrisé son sujet (presque) de bout en bout. Seul son manque de réussite l’a empêché de tuer le suspense avant même la mi-temps.

De belles séquences de jeu, un très bon pressing, des occasions franches : Paris a retrouvé mercredi soir tout ce qui lui avait manqué face à Ajaccio (0-0), mais aussi Bordeaux (1-0), où il avait toutefois su faire preuve de pragmatisme. En première période, Toulouse n’est parvenu à s’approcher de la cage de Nicolas Douchez qu’à trois reprises. Suffisant tout de même pour pousser Verratti à commettre une main (non signalée par M. Duhamel) dans sa surface (17e), mais surtout pour permettre à Franck Tabanou (18e) de répondre à l’ouverture du score rapide de Gameiro (8e).

Entrée remarquée de Ménez

Sans une parade spectaculaire de Blondel devant Pastore (37e) ou si le montant du portier toulousain n’avait pas repoussé une tête de Sakho (39e), Paris serait rentré aux vestiaires avec un avantage mérité. Il a finalement attendu la rentrée de Ménez, à la place de Gameiro qui avait manqué deux occasions franches avant la pause, pour reprendre les devants. L’international français a d’abord profité d’une relance manquée de Yago pour servir Pastore (2-1, 48e). Sur un contre, il s’est ensuite de nouveau mué en passeur décisif pour le but du 3-1 signé Lavezzi (66e). Si Chantôme a manqué l’occasion d’alourdir le score (75e), l’essentiel était déjà fait. Pour son 2000e match toutes compétitions confondues, et au terme d’une soirée une nouvelle fois chargée d’émotions avec le dernier hommage rendu par le PSG et le Parc à Nicholas Broad, décédé vendredi dernier, mais aussi l’apparition de Nene à la mi-temps, Paris ne s’est pas manqué.

Réactions: «Tout le monde s’est régalé»

Même diminué, Paris s’est qualifié pour les 8es de finale de la Coupe de France aux dépens de Toulouse (3-1), mercredi soir. «On s’aperçoit que tout le monde est capable de remplacer des joueurs importants», se réjouit Sylvain Armand.

Du beau jeu, des buts, et une qualification pour les 8es de finale de la Coupe de France : les motifs de satisfaction étaient nombreux dans le camp parisien après le succès obtenu face à Toulouse (3-1), mercredi soir. «On a vu un gros Paris», souligne Blaise Matuidi. «Quand on ne se pose pas de questions, qu’on joue naturellement, on voit ce que ça donne à la fin», ajoute Kévin Gameiro. Alors que l’absence d’éléments majeurs comme Thiago Silva, Thiago Motta ou encore Ibrahimovic avait distillé le doute sur la compétitivité de ce PSG-là, le club de la capitale a certainement livré son match le plus accompli de l’année 2013. «On s’aperçoit que tout le monde est capable de remplacer des joueurs importants, se réjouit Sylvain Armand. Tout le monde s’est régalé».

Avant le coup d’envoi, le défenseur, promu capitaine pour l’occasion, ne cache pas toutefois qu’une certaine «crainte» habitait le camp parisien. La raison ? Le manque de rythme, d’automatismes et de temps pour préparer ce match. «Mais finalement, ça s’est très bien passé. Je ne suis pas surpris parce qu’on travaille beaucoup à l’entraînement». Titularisé à cinq reprises seulement en L1 depuis le début de la saison, Armand a-t-il pensé qu’il pourrait s’agir – pour lui comme pour Nicolas Douchez – de son dernier match de la saison en cas d’élimination ? «Non, on n’a pas ça en tête, sinon on rentre sur la pelouse en tremblant. Voilà, on le sait, mais on évite de trop se le dire. Ça serait quand même dommage d’arrêter la saison en janvier (Rires)»

Le stade :

Le Parc des Princes