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Nantes – PSG 0-0, 23/02/75, Division 1 74-75

Eric Renaut

Dimanche 23.02.1975, Championnat de France, Division 1, 28e journée (13e place) à Nantes, au Stade Marcel-Saupin :
F.C. NANTES – PARIS ST-GERMAIN F.C.  0:0 (0:0)
– 10 367 spectateurs. Arbitre : M. Bacou.
L’équipe du PSG : Ilja PantelićLouis Cardiet, Gérard Cenzato (Jacky Laposte, 72′), Jacques Novi, Denis BaudaAlbert Poli, Éric Renaut, Jean-Pierre DoglianiLouis Floch, François M’Pelé, Guy Nosibor. Entraîneurs : Just Fontaine et Robert Vicot.
L’équipe de Nantes : Bertrand-Demanes – Osman, Denoueix, Rio, De Michele – Muller (Sahnoun, 55’), Michel – Marcos, Baronchelli, Rampillon, Maas. Entraîneur : Arribas.


Maillot utilisé (fabriqué par Le Coq Sportif) :

Maillot domicile alternatif 1974-76


Photos du match :

Eric Renaut

Eric Renaut


Compte-rendu (France Football) :

[Match de milieu de tableau au stade Marcel-Saupin, où des nantais 9èmes accueillent des parisiens 13èmes.]

Il s’en en fallu d’un rien pour que Paris S.G. remporte une nouvelle victoire à l’extérieur, et c’eût été un bel exploit au stade Marcel-Saupin, à Nantes. Mais il s’en est fallu de quelques centimètres pour que Nantes finisse par l’emporter à la 88ème minute, lorsque Maas, l’ailier gauche, n’avait plus qu’à pousser le ballon ou fond des filets. Il tira si mollement que Novi put arriver en catastrophe et sauver à quelques centimètres de la ligne…

Il n’empêche que les Parisiens, animés d’une meilleure détermination, faisant circuler davantage le ballon, posèrent bien des problèmes aux Nantais, qui firent preuve une nouvelle fois de leur manque total d’efficacité. Si l’on se réfère au seul plan strict des occasions de but, c’est sans doute Paris S.G, qui l’aurait emporté, car les partenaires de Dogliani se sont procuré les meilleures occasions de conclure. La meilleure se situa à la 23ème minute, quand le capitaine des Parisiens décocha un tir sur le poteau, la balle revint en jeu et Dogliani put la reprendre pour, cette fois, l’expédier… sur le transversale !

Pour quelques centimètres près, c’était donc la fin des chances nantaises.


Le stade :

Le stade Marcel-Saupin

Le stade Marcel-Saupin


Loic
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